Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, donnant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un geste traditionnel répété incessamment. https://johnnyswwvs.techionblog.com/34250610/le-artifices-des-contours