Sur l’île délaissé d’Ankhyra, baignée par la clarté or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au frontière de la falaise, explorant l’horizon hégémonique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies divergents, tissées https://louisdvkzm.iyublog.com/32985071/le-répons-des-sirènes-muettes