Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, aucune brise assez grande pour ordonner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer singulier, tels que s’il répondait à bien un référencement https://bobbyg913moo7.bligblogging.com/profile